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Arte diffuse à 20h55 la suite de sa saga familiale multiprimée Berlin 56. Une histoire d’émancipation féminine dans une Allemagne bien décidée à renaître loin des fantômes de son passé.
 
							
					
															Arte diffuse à 20h55 la suite de sa saga familiale multiprimée Berlin 56. Une histoire d’émancipation féminine dans une Allemagne bien décidée à renaître loin des fantômes de son passé.
 
							
					
															Présentée en compétition au festival Séries Mania, cette mini-série de Dominik Moll, en six épisodes, retrace douze destins ballottés par les spasmes de l’Histoire entre Afrique, Moyen-Orient et Europe. Une histoire fondamentalement humaine, au-delà des statistiques et des clichés. A voir ce jeudi et le 9 mai, sur Arte, à 20h55
 
							
					
															En matière de séries aussi, la trêve hivernale perd de plus en plus de terrain. Pour parvenir à écouler plus de 500 nouveautés par an (495 rien qu’aux États-Unis), il est en effet indispensable d’étaler la période d’activité au maximum. Entre les séances marathon et les rattrapages de fin de saison, on ne peut donc plus dormir que d’un seul œil entre deux fêtes puisqu’il est toujours question d’ouvrir l’autre (le bon). Janvier et février font le plein de nouveautés en Belgique et en France aussi. La preuve par 19 séries (ou plus).
 
							
					
															Parmi les séries à ne pas rater cette semaine présentées dans le cadre du festival Are You Series ? figurent deux productions italiennes: Il Miracolo et L’amica Geniale (My brilliant friend à l’international).
Dix millions de lecteurs ont suivi les mésaventures de L’Amie prodigieuse*** véritable saga littéraire imaginée par la mystérieuse Elena Ferrante. Publié dès 2011, le roman a été traduit en 42 langues. Avec l’adaptation du premier des quatre volumes en télévision, il y a fort à parier qu’un nouveau contingent de fans se rue dans les librairies pour commander les suivants.
 
							
					
															 
							
					
															Journée en rouge et noir, ce lundi, au Festival de télévision de Monte-Carlo qui recevait les deux scénaristes de la série espagnole phénomène La Casa de Papel et l’acteur Pedro Alonso, interprète du redoutable Berlin (photo).
Face à l’engouement important des fans français et monégasques – avec 17 millions de visionnages, la Casa de papel est la série la plus regardée sur les plateformes dans l’Hexagone -, le Festival avait d’ailleurs organisé une séance spéciale « Behind the scenes » afin de permettre au public de poser ses propres questions et de rencontrer l’équipe qui a donné vie à cet entêtant univers.
Celui d’un groupe de huit spécialistes tentant « le » casse du siècle en s’introduisant directement dans la Fabrique de la Monnaie espagnole.
Le suspense, concernant l’intrigue de cette nouvelle saison produite par Netflix et celui concernant les personnages présents dans le troisième opus, reste intense même si scénaristes et acteur ont révélé quelques indices ce lundi lors de leur passage à Monte-Carlo…
mise à jour (19/06): La Casa de papel vient d’être couronnée meilleure série dramatique lors de la clôture du 58e Festival de télévision de Monte-Carlo.
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