House of cards: Be TV adopte le rythme de Netflix

House of cards: Be TV adopte le rythme de Netflix

house of cards s2.jpgLe compte à rebours est lancé.
Dans un mois tout juste, Netflix mettra à disposition de ses abonnés les 13 épisodes de la saison 2 d’House of cards.
Un événement attendu jusque dans les plus hautes sphères de l’Etat puisqu’en décembre dernier déjà, Barack Obama laissait entendre à Reed Hastings, l’un des confondateurs de Netflix – rencontré lors d’une réunion à la Maison Blanche -, qu’il espérait qu’il lui « avait apporté les nouveaux épisodes d’House of cards ».

En Belgique aussi l’attente est grande, mais elle vient d’être sérieusement rabotée.
On a en effet appris ce mardi que non seulement Be TV diffusera la saison 2 d’“House of cards” 48 h seulement après sa diffusion aux USA, mais elle permettra à ses abonnés de voir l’intégralité des 13 épisodes le dimanche 16 février dès 12 h 20. Comme Netflix qui met l’ensemble de la saison à disposition de ses abonnés le 14 février et permet ainsi aux plus accros de s’adonner au binge viewing* sans remords.

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Veep: l’arme de dérision massive

Veep: l’arme de dérision massive

veep 2.jpgEn devenant vice-présidente des Etats-Unis (initiales VP d’où le titre Veep**), Selina Meyer découvre que le métier est très loin d’être aussi «cool» et glamour qu’elle l’aurait imaginé: inaugurations foireuses, réunions ennuyeuses, champ d’action limité, communication verrouillée par le président et ses multiples conseillers hyper actifs…
L’élue enthousiaste et ambitieuse voit ses aspirations (légitimes) rabotées de tous côtés, entre mauvais timing, torpillage interne, incompétences diverses, jeux de pouvoir et d’influence, mauvaise foi et coups tordus.

La série d’HBO, qui démarre ce mercredi à 20h45 sur Be séries, est donc l’occasion d’une satire plus ou moins savoureuse de la vie et de la scène politiques américaines. Où la petite brune Julia Louis-Dreyfus (« Seinfeld ») ne manque pas de points communs avec une certaine Sarah Palin, novice ambitieuse issue du lointain Alaska.

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House of Cards: dans les arcanes du pouvoir à Washington

House of Cards: dans les arcanes du pouvoir à Washington

house-of-cards.jpgHere, we are. Invités au coeur même du pouvoir américain. Accueillis à Washington par Kevin Spacey en personne, qui nous fait faire le tour du propriétaire de la fameuse House of cards***.
Et même si son personnage, Franck Underwood, se décrit comme «le plombier des lieux, chargé de faire évacuer les débris». On ne doute pas un seul instant de ses capacités à faire entendre sa voix en tant que membre actif du Congrès depuis 22 ans…

Même si, pour l’instant, l’homme n’a pas si fière allure. Il doit en effet faire face à une déception d’autant plus grande que lui, d’ordinaire si fin et si rusé, n’a rien vu venir de la trahison orchestrée par son camp: le président Garrett Walker et sa secrétaire générale Linda Vasquez, d’ordinaire si prompts à réclamer son soutien.

Mais s’être fait voler le portefeuille de Secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères par l’insipide Michael Kern va lui servir de leçon. Désormais, plus de quartier, la bataille pour le pouvoir est définitivement engagée. Frank Underwood se met à tendre ses filets et à rameuter ses alliés, fomentant un plan qu’on devine déjà machiavélique.

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House of Cards: course à la présidentielle américaine

House of Cards: course à la présidentielle américaine

house of cards2.jpgThriller encore mais contemporain cette fois avec « House of cards », série politique très attendue du début de l’année prochaine aux Etats-Unis.

Nous l’évoquions en octobre dernier, lors de sa présentation à Cannes: Netflix, le fameux service américain de streaming, va s’offrir le 1er février prochain sa première série originale. Et pas n’importe quelle série !

Produite par David Fincher (The Social Network), l’intrigue suit Kevin Spacey, alias Frank Underwood, dans son premier grand rôle en télévision.
Homme politique à l’ambition démesurée, Underwood, vieux briscard de Washington, rêve de faire tomber le président Garrett Walker, un objectif que sa femme (Robin Wright) essaie à toutes forces de l’aider à atteindre.

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Veep: le syndrome Sarah Palin

Veep: le syndrome Sarah Palin

Veep

veep.jpgEn devenant vice-Présidente des Etats-Unis, Selina Meyer découvre que le métier est très loin d’être aussi “cool” qu’elle l’imaginait : inaugurations foireuses, réunions ennuyeuses, champ d’action limité, communication verrouillée par le président et ses multiples conseillers hyperactifs…

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